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A quelles vraies mesures et solutions doit-on s'en tenir ?
(sujet amorcé ici : http://eclairagepublic.free.fr/forum/vi … 953#p14953 )
La parole est à vous.
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Je crois que la reflexion va émerger dans la tete de nos dirigeants...
Et qu'ils vont nous pondre une loi...
ou alors un industriel un peu plus fort politiquement que les autres va imposer son point de vu en normes... (genre fabriquant du lubio, ou type courant porteur... ou synapse -là, j'y crois pas, trop cher-)...
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Retour sur...
La pollution lumineuse
Pour compléter notre brève «Haro sur la pollution lumineuse» (S. et A. n° 74 2 , p. 17), voici le texte complet de l'article 36 de la loi de Grenelle 1 : «Les émissions de lumière artificielle de nature à présenter des dangers ou à causer un trouble excessif aux personnes, à la faune, à la flore ou aux écosystèmes, entraînant un gaspillage énergétique ou empêchant l'observation du ciel nocturne feront l'objet de mesures de prévention, de suppression ou de limitation.»
Sciences et Avenir
Exalum
La lumière réfléchie
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"Feront"? Quand?
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"Feront"? Quand?
C'est bien l'éternelle question.
Pour information, je met ici l'article du projet de loi du Grenelle 2, pour les spécifications dans les décrets d'application, il va falloir attendre un peu je crois :
Article 66
I. - Il est ajouté au titre VIII du livre V du code l’environnement un chapitre III ainsi rédigé :
« CHAPITRE III
« PRÉVENTION DES NUISANCES LUMINEUSES
« Section 1 Dispositions générales
« Art. L. 583-1. - Pour prévenir ou limiter les dangers ou trouble excessif aux personnes
et à l’environnement causés par les émissions de lumière artificielle et limiter les consommations
d’énergie, des prescriptions peuvent être imposées, pour réduire ces émissions, aux exploitants
ou utilisateurs de certaines catégories d’installations, ouvrages, équipements et activités
professionnelles, sans compromettre les objectifs de sécurité publique et de défense nationale
ainsi que de sûreté des installations et ouvrages sensibles.
« Les catégories d’installations, activités, ouvrages et équipements concernées sont
définies par décret en Conseil d’Etat en fonction de leurs caractéristiques, notamment de
l’intensité des flux de lumière qu’ils sont susceptibles d’émettre.
« Art. L. 583-2. - I. - Pour satisfaire aux objectifs mentionnés à l’article L. 583-1, le
ministre chargé de l’environnement fixe par arrêté, pris après consultation des instances
professionnelles concernées et de l’association représentative des maires au plan national :
« 1° Les prescriptions techniques relatives à chacune des catégories d’installations,
d’ouvrages, d’équipements ou d’activités professionnelles définies par le décret en Conseil
d’Etat mentionné à l’article L. 583-1. Ces prescriptions peuvent porter sur leurs émissions
lumineuses ainsi que sur les conditions d’implantation, de fonctionnement ou d’utilisation des
sources lumineuses.
« 2° Les conditions dans lesquelles l'autorité administrative chargée du contrôle et
désignée à l’article L. 583-3 peut vérifier ou faire vérifier aux frais de la personne qui exploite
l’installation, exerce l’activité professionnelle, ou utilise l’ouvrage ou l’équipement concernés, la
conformité aux prescriptions mentionnées au 1°.
« Ces arrêtés s'imposent de plein droit aux installations, ouvrages et équipements mis en
service après la date d’entrée en vigueur de l’arrêté et aux activités professionnelles exercées
après cette date. Ils précisent les délais et les conditions dans lesquels ils s'appliquent aux autres
installations, ouvrages, équipements et activités.
« II. - Lorsque les caractéristiques locales ou la nature des sources lumineuses ou des
émissions lumineuses le justifient au regard des objectifs mentionnés à l’article L. 583-1, le
ministre chargé de l’environnement peut, par un arrêté pris dans des conditions fixées par décret
en Conseil d’Etat, interdire ou limiter, à titre temporaire ou permanent, certains types de sources
ou d’émissions lumineuses sur tout ou partie du territoire national.
« III. - Les arrêtés prévus aux I et II - à l’exception de ceux imposant des interdictions
permanentes - peuvent prévoir les conditions dans lesquelles les dispositions qu’ils comportent
peuvent être adaptées par arrêté préfectoral aux circonstances locales.
« Art. L. 583-3. - Le contrôle du respect des dispositions prévues au I de l’article L. 583-3
relève de la compétence du maire sauf pour les installations, activités, équipements ou ouvrages
communaux, pour lesquels ce contrôle relève de la compétence de l’Etat. Ce contrôle est assuré
par l’Etat pour les installations, ouvrages, équipements et activités professionnelles soumis à un
contrôle de l’Etat au titre d’une police administrative spéciale.
« Art. L. 583-4. - Les dispositions du présent chapitre ne sont pas applicables aux
installations régies par les dispositions du titre Ier du livre V, aux installations régies par la loi
n° 2006-686 du 13 juin 2006 relative à la transparence et à la sécurité en matière nucléaire et aux
publicités, enseignes et préenseignes régies par les dispositions du chapitre Ier du titre VIII du
livre V du présent code.
« Section 2 Sanctions administratives
« Art. L. 583-5. - En cas d’inobservation des dispositions applicables aux installations,
ouvrages, équipements et activités régis par le présent chapitre ou des règlements pris pour leur
application, l’autorité administrative compétente met en demeure la personne à qui incombe
l’obligation d’y satisfaire dans le délai qu’elle détermine.
« Si, à l'expiration de ce délai, l’intéressé n’a pas déféré à la mise en demeure, l’autorité
administrative compétente peut suspendre par arrêté le fonctionnement des sources lumineuses
jusqu'à exécution des conditions imposées et prendre les mesures conservatoires nécessaires, aux
frais de la personne mise en demeure. »
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(Voir amorce ici http://eclairagepublic.free.fr/forum/vi … 95#p14995)
Quel est selon toi en terme d'éclairement au sol un éclairage trop réduit ?
Je vais te répondre très sincèrement que je n'en sais rien. Effectuer de tels calculs n'est pas mon métier, je laisse le soin de faire ça aux "experts".
Ok Il faut réaliser des économies, ok il faut prendre en compte au mieux les préoccupations environnementales.
Je ne vais tourner autour du pot longtemps et vous livrer le fond de ma pensée .
En terme de solutions, je préconise donc - comme vous le dites tous et sur quels points nous sommes à peu près unanimes -, à savoir l'emploi de luminaires placé entre 0 et 5% d'inclinaison, avec verre plat (système cut-off), et respectant un niveau d'éclairement minium. Éclairer là où il le faut, quand il le faut, mais pas de n'importe quelle façon, sans tenir compte uniquement de chiffres et d'études scientifiques qui au final parviendra à mettre en place un dit "parfait" éclairage. Au final le sujet n'est-il pas celui-ci également ?
Qui dit éclairer au plus juste, dit donc nécessairement éclairer où il faut, quand il faut, comme il faut (je sais, je me répète et ne vous apprend rien).
Mais quelle est donc cette notion d'éclairer au plus juste pour limiter au mieux toute nuisance? Est-ce ne s'attacher qu'à un éclairage conçu à la virgule près (si je puis-dire)?
Oui, il est indispensable de s'attacher à des mesures précises permettant de s'orienter vers un éclairage le plus juste possible. Seulement, à cela, où placez-vous la dimension de l'homme - donc de l'usager - dans l'histoire ?
Quand j'entends que les gens doivent porter une lampe de poche sur eux s'ils ne sont pas content, permettez moi de rigoler. Si je paye pour qu'on m'éclaire un minium - tout au moins à certains horaires "vitaux" - ce n'est pas pour me balader toujours avec une lampe de poche dont j'ai pommé encore ce soir les piles.
Les gens ne sont pas naïf. L'éclairage public est un service exigé par les usager. Exigé quelque fois à défaut (dans ce cas on s'intéressera activement à une politique de sensibilisation, inexistante dans notre pays, à part dire que éclairer le ciel c'est le Mal), mais exigé.
Il ne faut pas perdre de vue non plus que l'éclairage public, n'est pas seulement une ampoule montée sur un poteau en métal peint en rouge et éclairant le carrefour machin truc.
Le tout doit, à mon sens, être pensé (et l'est) comme un outil marketing en quelque sorte par les collectivités. Suite à mes propos, peut être allez-vous vous arracher les cheveux, mais au fond, c'est pourtant vrai. Une municipalité souhaitant se donner un visage "environnement durable", devra implanter sur son territoire, un éclairage allant dans ce sens. Car ce "service" est visible par tous et profitable à tous. Donc des efforts en la matière constatables par tous.
De même, une collectivité soignant l'aménagement de son territoire pour le faire rayonner en quelque sorte, ne sera pas uniquement équipé de lampadaire type années 80 sur de simples candélabres acier galva par ce que ça coûte pas trop cher.
Ainsi, (concernant l'EP) peut-on s'attarder au mieux aux préoccupations environnementales sans forcément plonger l'usager dans un éclairage "pleine lune" total. Où si cela doit être le cas, pas seulement à quelques heures, histoire de faire bien. Parfois, il vaut mieux aucun éclairage, qu'un pauvre éclairage tout faiblard qui fera naître chez l'usager un sentiment de "foutage de *****". N'avez-vous jamais entendu "ah ben ici j'sais pas ce qu'ils foutent mais on y voit".
Même si au fond l'éclairage rentre dans les "normes" d'entière éco-conception. Si l'on veut croire que son installation est sensass' dans ce cas entre une autre dimension dans le problème : l'information et sensibilisation à l'usager.
Bref ne vous mettez pas à l'idée, suite à ces propos, que je défend le tout éclairage à tout prix en se foutant du sur-éclairage (bien au contraire), mais peut-on adopter des mesures et "choix" un niveau d'éclairement minimal, en restant dans le raisonnable, même si, par une simple suite de calculs, parviendra-t-on à soutenir la thèse visant à démontrer que l'on se situe dans le sur-éclairage, par ce que le niveau "pleine lune" est dépassé.
On peut mettre en place un bon éclairage, en restant raisonnable, sans virer dans des effets inverses.
Sinon pour la solution de la lampe de poche, ça me laisse un peu dubitatif ( éclairage public = service public donc pas de moyen individuel ).
Dans tous les cas, je crois que nous souhaitons tous la même chose et je penche pour ma part vers la théorie de l'optimisation : pourquoi régresser alors qu'il suffit de trouver des solutions d'amélioration et d'optimisation ?
Pourquoi abaisser le flux lumineux la nuit à un "niveau bas" ? pourquoi ne pas adopter ce même niveau à toute heure si il est suffisant à 23h00 il l'est à 19h00 ...
Eteignez donc la nuit tous les luminaires ( il y aura surement une loi sur ce sujet grenelle de l'environnement 4 ou 5 ? ...)
mais cela ne durera qu'un temps jusqu'à un accident ou une agression de trop
et là comme d'habitude ce sera la marche arrière et l'allumage systématique ...
Je rejoins en partie cette vision des choses.
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Pour information, je met ici l'article du projet de loi du Grenelle 2, pour les spécifications dans les décrets d'application, il va falloir attendre un peu je crois :
Article 66
I. - Il est ajouté au titre VIII du livre V du code l’environnement un chapitre III ainsi rédigé :
« CHAPITRE III
« PRÉVENTION DES NUISANCES LUMINEUSES
..............................
En tout cas, ça en fait des "peut / pourra".
Sinon, c'est toutefois en bonne voie.
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(Voir amorce ici http://eclairagepublic.free.fr/forum/vi … 95#p14995)
nico73 wrote:Quel est selon toi en terme d'éclairement au sol un éclairage trop réduit ?
Je vais te répondre très sincèrement que je n'en sais rien. Effectuer de tels calculs n'est pas mon métier, je laisse le soin de faire ça aux "experts".
Ok Il faut réaliser des économies, ok il faut prendre en compte au mieux les préoccupations environnementales.
Je ne vais tourner autour du pot longtemps et vous livrer le fond de ma pensée
.
En terme de solutions, je préconise donc - comme vous le dites tous et sur quels points nous sommes à peu près unanimes -, à savoir l'emploi de luminaires placé entre 0 et 5% d'inclinaison, avec verre plat (système cut-off), et respectant un niveau d'éclairement minium. Éclairer là où il le faut, quand il le faut, mais pas de n'importe quelle façon, sans tenir compte uniquement de chiffres et d'études scientifiques qui au final parviendra à mettre en place un dit "parfait" éclairage. Au final le sujet n'est-il pas celui-ci également ?Qui dit éclairer au plus juste, dit donc nécessairement éclairer où il faut, quand il faut, comme il faut (je sais, je me répète et ne vous apprend rien).
Mais quelle est donc cette notion d'éclairer au plus juste pour limiter au mieux toute nuisance? Est-ce ne s'attacher qu'à un éclairage conçu à la virgule près (si je puis-dire)?
Oui, il est indispensable de s'attacher à des mesures précises permettant de s'orienter vers un éclairage le plus juste possible. Seulement, à cela, où placez-vous la dimension de l'homme - donc de l'usager - dans l'histoire ?Quand j'entends que les gens doivent porter une lampe de poche sur eux s'ils ne sont pas content, permettez moi de rigoler. Si je paye pour qu'on m'éclaire un minium - tout au moins à certains horaires "vitaux" - ce n'est pas pour me balader toujours avec une lampe de poche dont j'ai pommé encore ce soir les piles.
Les gens ne sont pas naïf. L'éclairage public est un service exigé par les usager. Exigé quelque fois à défaut (dans ce cas on s'intéressera activement à une politique de sensibilisation, inexistante dans notre pays, à part dire que éclairer le ciel c'est le Mal), mais exigé.
Il ne faut pas perdre de vue non plus que l'éclairage public, n'est pas seulement une ampoule montée sur un poteau en métal peint en rouge et éclairant le carrefour machin truc.
Le tout doit, à mon sens, être pensé (et l'est) comme un outil marketing en quelque sorte par les collectivités. Suite à mes propos, peut être allez-vous vous arracher les cheveux, mais au fond, c'est pourtant vrai. Une municipalité souhaitant se donner un visage "environnement durable", devra implanter sur son territoire, un éclairage allant dans ce sens. Car ce "service" est visible par tous et profitable à tous. Donc des efforts en la matière constatables par tous.
De même, une collectivité soignant l'aménagement de son territoire pour le faire rayonner en quelque sorte, ne sera pas uniquement équipé de lampadaire type années 80 sur de simples candélabres acier galva par ce que ça coûte pas trop cher.Ainsi, (concernant l'EP) peut-on s'attarder au mieux aux préoccupations environnementales sans forcément plonger l'usager dans un éclairage "pleine lune" total. Où si cela doit être le cas, pas seulement à quelques heures, histoire de faire bien. Parfois, il vaut mieux aucun éclairage, qu'un pauvre éclairage tout faiblard qui fera naître chez l'usager un sentiment de "foutage de *****". N'avez-vous jamais entendu "ah ben ici j'sais pas ce qu'ils foutent mais on y voit".
Même si au fond l'éclairage rentre dans les "normes" d'entière éco-conception. Si l'on veut croire que son installation est sensass' dans ce cas entre une autre dimension dans le problème : l'information et sensibilisation à l'usager.Bref ne vous mettez pas à l'idée, suite à ces propos, que je défend le tout éclairage à tout prix en se foutant du sur-éclairage (bien au contraire), mais peut-on adopter des mesures et "choix" un niveau d'éclairement minimal, en restant dans le raisonnable, même si, par une simple suite de calculs, parviendra-t-on à soutenir la thèse visant à démontrer que l'on se situe dans le sur-éclairage, par ce que le niveau "pleine lune" est dépassé.
On peut mettre en place un bon éclairage, en restant raisonnable, sans virer dans des effets inverses.lumen wrote:Sinon pour la solution de la lampe de poche, ça me laisse un peu dubitatif ( éclairage public = service public donc pas de moyen individuel ).
Dans tous les cas, je crois que nous souhaitons tous la même chose et je penche pour ma part vers la théorie de l'optimisation : pourquoi régresser alors qu'il suffit de trouver des solutions d'amélioration et d'optimisation ?
Pourquoi abaisser le flux lumineux la nuit à un "niveau bas" ? pourquoi ne pas adopter ce même niveau à toute heure si il est suffisant à 23h00 il l'est à 19h00 ...
Eteignez donc la nuit tous les luminaires ( il y aura surement une loi sur ce sujet grenelle de l'environnement 4 ou 5 ? ...)
mais cela ne durera qu'un temps jusqu'à un accident ou une agression de trop
et là comme d'habitude ce sera la marche arrière et l'allumage systématique ...Je rejoins en partie cette vision des choses.
Quel est d'après toi alors cet éclairement minimal raisonnable ?
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Y en a pas puisque de toute facon la plupart des voies sont sur-éclairées.
Quel serait d'après vous alors un éclairement minimal raisonnable ?
Offline
Je vais te répondre très sincèrement que je n'en sais rien. Effectuer de tels calculs n'est pas mon métier, je laisse le soin de faire ça aux "experts".
Et à vous tous?
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Lux'Or wrote:Je vais te répondre très sincèrement que je n'en sais rien. Effectuer de tels calculs n'est pas mon métier, je laisse le soin de faire ça aux "experts".
Et à vous tous?
Oui mais sans calcul juste par l'expérience.
Ceux qui disposent d'un luxmètre par exemple.
Offline
Ah non mais je ne prétend pas être parole d'évangile ni détenir toutes les connaissances. Aussi les expérences de terrain valent aussi être un bon compléments aux "calculs"...
Et puis chacun son métier, je ne passe nullement mes journées a faire des calculs d'éclairagiste.
Par contre, j'aimerais (on aimerais) bien connaître ton avis la dessus avec des chiffres etc. et théories démontrant que les normes AFE par exemple ne sont pas des plus abouties. Il n'y a aucune arrière pensée dans ces propos, mais je pense justement ça peut aussi être utile à ceux que ça intéresse histoire de faire son opinion sur la question, de revoir ses opinions (moi? vous tous?) ou de s'y conforter.
Offline
Nous on a pas encore fait de vrai mesure en lux (juste des mesure rapidos de crados pour voir l'effet de la reduction electrique) mais on peut facile reduire de 30% la conso electrique des lampe actuelles pour un eclairement tres correct. Donc en gros a vu de pif, ca doit faire pas loin de 50% des lux en moins, sans changer la hauteur des mat mais avec des vrai bol...
C'est un ressenti
Offline
Au passage, je rappel que ce sujet existe....................................................................................
Offline
la pollution, c'est bien le sujet à la mode de notre époque
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Je n'irai pas jusque là.
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Une des solutions possible serait la mesure photométrique de ces "zones sur éclairés" peut etre ?
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A chaque tournant, on apercevait de plus en plus tous les éclairages de la ville qui faisaient une large vapeur lumineuse au-dessus des maisons confondues.
Madame Bovary - Gustave Flaubert
Comme quoi, le phénomène existait déjà à l'aube de l'éclairage public
Mon site web sur l'Eclairage Public en France
Physique de la lumière, technologies d'éclairage, inventaire des lanternes
http://phozagora.free.fr
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Sauf que cette seule citation ne suffit pas à comprendre si les gens trouvaient ça bien (le progrès ou pas).
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