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J'ai trouvé intéressant de constater que si en Europe niveau règlementations pratiquement aucune source n'y échappe, ici il n'est même pas encore question de toucher aux HPS ou encore aux fluocompacts PL-S (2 broches). Idem pour toutes les halogénures métalliques, qu'elles soient à électrode auxiliaire (probe start) ou à allumeur (pulse start). En date d'aujourd'hui, absolument toutes les lampes qui existent ou presque sont encore commercialisés. Les seules étant prévu d'être bannis jusqu'ici sont les fluorescent 1m20 et 2m40 halophosphates l'été prochain, les mercures en 2016 et les incandescentes de 2012 à 2015.
Niveau ballasts seul les ballasts mercures et certains ballasts fluorescentes magnétiques ont été virés. Pour les mercures le plus souvent on relampe avec une lampe halogénures probe start de puissance équivalente, les caractéristiques électriques le permettant. Les fluos quant à eux sont le plus souvent convertis au T8 électronique démarrage instantané. Dans d'autres cas des T12 triphosphores existent. Par contre un luminaire HPS ne pourras pas vraiment être relampé avec autre chose, et même si c'est parfois possible ce n'est clairement pas une pratique courante par ici.
Si je prends un exemple typique qui équivaudrait à la situation dont est sujet cette discussion, pour convertir un luminaire "wallpack" 100W mercure, très courant sur les bâtiments commerciaux, l'économie d'énergie n'est le plus souvent pas la priorité. Au contraire un luminaire sodium similaire de même wattage est installé pour augmenter le niveau lumineux au lieu d'économiser, et même le coût d'opération s'en trouve augmenté, puisque wattage-à-wattage, un ballast sodium a plus de pertes en watts qu'un mercure, en particulier si le sodium est multi-tensions, donc de type autotransformateur. Les mono-tensions ne sont que de simples réactances qui alors n'occasionne presqu'aucune perte en watts.
Propriétaire d'une collection de plus de 250 fluorescents et 500 lampes incandescentes!
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